Dico économique, financier
et social
O...
cuy copyleft
  See You Why?  

 

 

 

départ lexique   |  

 

 

 Objectifs économiques :
Critères utilisés par la société pour évaluer la performance de l'ensemble ou d'une partie du système économique et pour examiner l'utilité des programmes.

 Obligataire :
n'est nullement responsable de l'usage qui est fait de ses capitaux. Il n'a donc aucun droit de regard sur le fonctionnement de l'entreprise ; ses seuls droits sont le paiement régulier des intérêts et le remboursement de la somme prêtée.

 Obligation :
titre représentant une dette d'une entreprise, d'une institution publique ou de l'état. Preuve d'une créance sur une entreprise ou l'état. Le propriétaire d'une obligation, le détenteur d'obligation, accorde un prêt et a droit de percevoir un intérêt déterminé au préalable à des moments définis au préalable. Une obligation peut être nominative ou au porteur (disparition des titres belges au porteur).
Dans le premier cas, le propriétaire est inscrit dans le registre des détenteurs d'obligations.
Dans le second cas, l'obligation est matérialisée par un document comportant un manteau et une feuille de coupons

 Obligation à fenêtres :
Emprunt à long terme présentant la particularité de pouvoir être remboursé avant l'échéance finale à la demande du prêteur ou de l'émetteur, à des dates intermédiaires et des prix fixés dans le contrat d'émission.

 Obligation à taux fixe :
Obligation dont le montant des coupons est fixé dès le contrat d'émission.

 Obligation à taux variable :
Obligation dont le montant des coupons varie en fonction de l'évolution d'un "taux de référence" obligataire ou monétaire. Cette variation peut être limitée par un minimum (taux plancher) et/ou un maximum (taux plafond).

 Obligation convertible :
catégorie particulière d’obligations : elle permet à son détenteur de devenir actionnaire de la société émettrice à tout moment, en contrepartie d’une rémunération.
Obligation pouvant être transformée par son détenteur, à des conditions définies à l'avance par son émetteur, en action de la société. Ces obligations sont émises à un taux inférieur aux obligations classiques.

 Obligation garantie :
Les intérêts et le remboursement du capital seront assurés par l'Etat ou une collectivité locale, selon les obligations, en cas de défaillance de l'émetteur.

 Obligation indexée :
Obligation dont les intérêts ou le capital, ou les deux à la fois, varient en référence à un indice déterminé dans le contrat d'émission.

 Obligation linéaire :
voir OLO.

 Obligation prorogeable :
Obligation munie d'une clause optionnelle permettant la prolongation de sa durée au-delà de la date de remboursement initialement prévue.

 Obligation subordonnée :
Obligation qui, en cas de faillite de la société émettrice, ne sera remboursée qu'après les obligations ordinaires et pour autant qu'il reste des actifs.

 Obsolescence :
C’est le fait pour un produit d’être périmé, et donc de perdre toute la valeur, du simple fait de l’évolution technique ou de la mode, même si le produit est en parfait état de fonctionnement.

 OCDE :
organisation de coopération et de développement économique, regroupant tous les pays développés. 

 Officier public :
Personne titulaire d’un office conféré par l’état et nommé par décision d’un ministre. Les avoués près les cours d’appel, les huissiers de justice, les notaires, les avocats au Conseil d’état et à la Cour de cassation sont des officiers ministériels. Certains d'entre eux sont également des officiers publics, en raison de leur pouvoir d’authentifier des actes juridiques ou judiciaires et de procéder à l’exécution des décisions de justice (Exemple : notaires, huissiers de justice).

 Offre :
quantité de biens ou de services proposés à un prix donné, en fonction de son prix, des prix des facteurs de production, de la technologie et ainsi de suite. 

 Offre et Demande (loi) :
Le prix d'un bien échangé sur un marché est déterminé par l'équilibre de l'offre et de la demande. La demande d'un bien est une fonction décroissante du prix alors que l'offre d'un bien est une fonction croissante du prix; il existe un prix d'équilibre pour lequel l'offre est égale à la demande. Ce prix est déterminé par la libre négociation entre les offreurs et les demandeurs. Le fonctionnement de la loi de l'offre et de la demande suppose des marchés de concurrence pure et parfaite. Parmi les conditions, il est nécessaire qu'il y ait une parfaite flexibilité des prix, puisque ce sont les mouvements de prix qui sont susceptibles de rétablir l'équilibre à la suite d'un changement quelconque dans les conditions du marché.
(Voir également la théorie microéconomique traditionnelle).

 Offre individuelle/agrégée :
Quantité d'un bien ou d'un service qu'un individu (offre individuelle) ou que l'ensemble des individus intéressés par ce bien ou par ce service (offre du marché, ou agrégée), souhaite vendre, à un prix donné.
(Voir également la théorie microéconomique traditionnelle).

 Offre publique d'achat (OPA) :
Une OPA consiste en une déclaration publique d’un agent (ou le plus souvent d’un groupe) qui s‘engage à acheter, à un prix donné (plus élevé que le cours observé) et dans un certain délai, tout ou partie des actions d’une société. La procédure d'OPA se fait sous la surveillance des autorités de marché qui s'assurent du respect des principes de transparence, de bonne information et d'égalité de traitement des actionnaires.

 Offreur :
Celui qui offre, propose, un service, un bien (s'oppose à "demandeur").

 OPA, Offre Publique d'Achat :
Opération par laquelle une société se porte acquéreuse de tout le capital d'une autre à un prix donné par action. Le paiement s'effectue en espèces. Cette opération est limitée dans la durée. Elle ne réussit que si un pourcentage de détention des titres fixé à l'avance est franchi.

Offre publique d’échange (OPE) :
Technique voisine de l’OPA qui consiste à proposer d'acquérir les titres de la société cible en échange des titres de la société initiatrice. Une offre publique d'échange ne donne donc pas lieu à une sortie de trésorerie.
 OPE, Offre Publique d'Echange :
Variante de l'offre publique d'achat, le paiement s'effectue en actions de la société qui lance l'OPE, au lieu d'un règlement en espèces.

 Oligopole :
Situation dans laquelle n’existent que quelques offreurs en face de nombreux demandeurs (monopsone pour le cas inverse). Comme en monopole, les entreprises peuvent être incitées à faire monter les prix en restreignant leur production. Toutefois, elles ont intérêt individuellement à augmenter leur production pour profiter de la hausse des prix. L’accord est donc menacé de défection (passager clandestin).
(Voir également la théorie de l'équilibre général).

 Oligopole à frange :
C'est une structure de marché qui combine un cœur constitué d'un très petit nombre de grosses firmes vendeuses et une frange constitué de petites entreprises souvent innovatrices mais fragiles.

 OLO :
Les obligations linéaires, également appelées OLO, sont des obligations dématérialisées à moyen et long termes émises en tranches mensuelles formant conjointement une ligne. Au sein d'une ligne, elles ont un même taux d'intérêt et une même date d'échéance. Le prix d'émission est déterminé lors de l'adjudication. Les institutions financières peuvent librement faire offre. Le rendement d'une OLO belge à 10 ans est l'indicateur par excellence de l'évolution à long terme du taux long.

 Ombudsman : Médiateur des fonctions de contrôle de l’administration. Terme suédois inventé au début du XIXe siècle, reprise en Europe dans les années 1970.

 OMC = organisme mondiale du commerce :
Créée par l’accord de Marrakech (15 avril 1994), l'Organisation mondiale du Commerce existe depuis janvier 1995. Ses pouvoirs s'étendent à la résolution de conflits commerciaux par le biais de plusieurs processus, notamment un mécanisme de règlement des différends (ORD).

 ONU ou Organisation des Nations Unis :
xxxx

 Open market : Achat ou vente de titres (bons du Trésor) par la banque centrale sur le marché interbancaire. En modulant le volume de ses interventions, la banque centrale oriente les taux du marché en fonction de ses objectifs.

 Opérateur :
Entreprise chargée (par exemple par délégation) de la fourniture d’un service public. L’opérateur peut être placé sous l’autorité d’un régulateur ou directement sous celle de l’état.

 Opinion publique  :
Est l'ensemble des convictions et des valeurs plus ou moins partagées, des jugements, des préjugés et des croyances de la population d'une société donnée. On évoque l'« opinion publique » en général au niveau d'un pays, mais on parle aussi d'« opinion publique locale » pour désigner des sensibilités identifiables au niveau régional, et d'« opinion publique internationale » à la faveur des prises de position simultanées d'acteurs internationaux.

 Opportunisme :
L'opportunisme est une conduite qui consiste à tirer le meilleur parti des circonstances, parfois en le faisant à l'encontre des principes moraux.

 Optimum :
L'optimum désigne la meilleure situation économique possible . Les agents ont un comportement d'optimisation) qui consiste à maximiser un résultat (maximiser l'utilité pour les consommateurs, le profit pour les producteurs) à partir de ressources données ou à minimiser un coût pour obtenir un résultat donné.
(Voir également la théorie microéconomique traditionnelle).

 Optimum paretien :
il se définit comme une situation économique efficace socialement au sens où personne ne peut améliorer sa position sans détériorer celle des autres.
(Voir également la théorie de l'optimum paretien).

 Opting out (clause d'exemption) :
Dans le cadre de l'Union européenne, cette clause correspond à une dérogation accordée à un pays ne souhaitant pas se rallier aux autres Etats membres dans un domaine particulier de la coopération communautaire, afin d'empêcher un blocage général. Ainsi en application des protocoles annexés au traité CE qui leur donnent ce choix. Le Royaume-Uni et le Danemark n'ont pas souhaité participer à la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM).

 Option :
Il s’agit d’un contrat entre deux parties par lequel l'une accorde à l'autre le droit (et non l’obligation) de lui vendre (option de vente, put) ou de lui acheter (option d’achat, call) un actif financier (l’actif sous-jacent), moyennant le versement d'une somme d'argent (le prix de l'option).
L'achat (ou la vente) de cet actif se fera à un prix déterminé (prix d'exercice), durant une période (période d'exercice pour les options dites américaines), ou à une date précise (date d'exercice pour les options dites européennes). Une option permet aux agents de se protéger contre les risques de fluctuation du cours de l’actif sous-jacent.
Un contrat d'option sur un bien sous-jacent donne un droit et non une obligation à son détenteur d'acheter ou de vendre, une quantité donnée d'un actif à un prix fixé à l'avance (prix d'exercice), à ou jusqu'à une date future préalablement déterminée, cela moyennant le règlement immédiat au vendeur d'une prime (premium).
Celui qui achète l'option a un droit. Il a le droit d'acheter "le droit d'acheter" ou "le droit de vendre". Pour acquérir ce droit, l'acheteur de l'option doit par conséquent payer une prime, c'est-à-dire le prix de l'option.
Plusieurs paramètres influencent la prime d'une option :
Celui qui vend l'option a, par contre, une obligation.

 Option Call :
Une option d'achat ou option call est une option donnant la possibilité (non l'obligation) à l'acquéreur d'acheter une quantité donnée d'un actif (action, matière première...) à un prix fixé à l'avance (prix d'exercice), à ou jusqu'à une date future préalablement déterminée, cela moyennant le règlement immédiat au vendeur d'une prime (premium).

 Option Put :
Une option de vente ou option put est une option donnant la possibilité (non l'obligation) à l'acquéreur de vendre une quantité donnée d'un actif (action, matière première...) à un prix fixé à l'avance (prix d'exercice), à ou jusqu'à une date future préalablement déterminée, cela moyennant le règlement immédiat au vendeur d'une prime.
L'option put permet de profiter de la baisse des cours.

 Optimisation  :
C'est le fait d'optimiser, c'est-à-dire transformer une source afin de maximiser la rapidité de fonctionnement du programme et minimiser les ressources nécessaires au fonctionnement. Une optimisation locale se penchera sur les détails, une optimisation structurelle repartira du début.

 Ordre :
Un groupe de parents qui peuvent prétendre à la succession d’une personne. Il existe quatre ordres :

  • Premier ordre : descendants directs (vos enfants, leurs enfants, etc.)
  • Deuxième ordre : frères et sœurs (ou leurs descendants) et parents
  • Troisième ordre : ascendants (vos parents, leurs parents, etc.)
  • Quatrième ordre : oncles et tantes ou leurs descendants.

    En principe, seul l’ordre le plus élevé hérite.

 Ordre permanent (instruction permanente) :
Ordre de virement automatique par lequel à date fixe le même montant déterminé est viré sur le compte d'un même bénéficiaire

 Ordre "Tout ou rien" - Fill or Kill :
Cet ordre d'achat ou de vente en Bourse qui doit être exécuté entièrement en une fois ou ne pas l'être du tout. Il a la plus basse priorité dans le carnet d'ordres.

 Ordre à cours limité :
Achat ou vente de titres à une limite de cours indiquée par le donneur d'ordre. L'ordre limité est exécuté au moins à la limite fixée
(ordre à l'achat : exécuté au prix indiqué ou inférieur et
ordre à la vente : exécuté au prix indiqué ou supérieur).

 Ordre "à tout prix" :
Achat ou vente de la totalité des titres indiqués sur l'ordre (différents prix nécessaire).
Traitement en priorité par rapport aux autres ordres.
Si manque de contrepartie pour exécuter l'entièreté de l'ordre dans la marge de fluctuation (5 - 10 %), suspension du cours de Bourse.

 Ordre au prix d'ouverture :
Les ordres au prix d'ouverture sont uniquement valables lors de la période de préouverture. Le prix d'exercice n'est donc connu qu'au moment du fixing et le donneur d'ordre n'a aucun recours si le prix ne lui convient pas. L'ordre n'a aucune garantie d'exécution : il peut être exécuté intégralement ou en partie, voire ne pas l'être, en fonction des ordres présents sur le marché.

 Ordre au prix du marché :
Achat ou vente au cours de Bourse de l'action (meilleure contrepartie). Exécution pratiquement immédiatement après la passation de l'ordre sauf si absence de contrepartie. Aucun recours de l'investisseur au moment de l'execution, le prix ne lui convient pas. L'ordre au marché est exécuté au maximum de la quantité immédiatement disponible. Le solde reste disponible.

 Ordre limité :
L'acheteur remet un prix d'achat maximal et le vendeur un prix de vente minimal.

 Ordre stop limit :
L'ordre stop-limit devient un ordre limité lorsque le cours de Bourse attient une limite spécifiée par le donneur d'ordre. Ainsi, dès que la limite stop est atteinte, le donneur d'ordre a la garantie que son ordre se trouve dans le marché.
Ex.: un ordre de vente sur Dexia limité à 13 EUR mais ayant un cours stop de 15 EUR est un ordre limité à 13 EUR dès que Dexia passe sous 15 EUR.

 Ordre stop loss :
L'ordre stop-loss devient un ordre au marché lorsque le cours de Bourse atteint une limite spécifiée par le donneur d'ordre. Ainsi, dès que la limite stop est atteinte, le donneur d'ordre a la garantie que son ordre se trouve dans le marché.
Ex.: Un ordre de vente stop loss sur Dexia à 15 EUR est un ordre à tout prix dès que l'action passe sous les 15 EUR.

 Organe de règlements des différends (ORD) :
Institution au sein de l’organisation mondiale du commerce (OMC) qui est destinée à trancher les contentieux commerciaux entre les parties. La partie en conflit demande la constitution d'un panel. Celui-ci rend un jugement qui ne peut être inversé que si tous les membres de l'OMC sont d'accord. Cela est impossible puisque l'ORD donnera au moins raison à une des parties. L'ORD est donc est source de droit. Il existe un organe d'appel composé de sept membres. Si la décision n'est pas mise en oeuvre, le pays peut être autorisé à prendre des mesures de rétorsion.

 Organes sociaux :
Les personnes chargées de l’administration et de la surveillance ne sont pas des mandataires au sens que le droit civil donne à ce mot. Elles sont investies d’un pouvoir légal. Ce sont les organes de la société personne morale.

Organisation internationale :
Association d’Etats souverains, établie sur la base d’un traité multilatéral appelé charte, statut ou acte constitutif, et dotée d’organes permanents chargés de la réalisation des buts de ladite organisation. L’OI dispose d’une existence juridique propre.
On distingue les organisations à vocation universelle (ouvertes à tous les Etats du monde, comme par exemple l’ONU) des organisations à vocation régionale (telles que l’Association des nations du sud-est asiatique, ASEAN en anglais).
Une seconde typologie distingue les organisations de coopération, qui mettent en œuvre la collaboration entre des Etats qui n’abandonnent aucune de leurs prérogatives d’Etat souverain, et les organisations d’intégration qui implique que certaines des attributions qui relèvent en principe des pouvoirs de l’Etat soient transférés à l’organisation. L’Union Européenne est l’exemple le plus représentatif des organisations d’intégration.
Enfin, on distingue aussi les organisations généralistes (comme l’ONU) des organisations sectorielles (l’OPEP par exemple). Les organisations couvrent toutes les activités qui font l’objet de relations entre les Etats, qu’il s’agisse des domaines politique, économique, social, militaire, culturel ou technique. En termes d’objectifs, l’OI doit, par la coopération qu’elle met en place entre les Etats membres, favoriser les relations entre ces mêmes Etats.
(Voir également la théorie des régimes internationaux)

 Organisation matricielle :
type d'organisation adopté par de grandes entreprises pour tenter de réduire les grandes féodalités. Au lieu de ne dépendre que de son hiérarchique (opérationnel), un salarié est noté à la fois par celui-ci et par un expert (fonctionnel) de son domaine de compétence. Ce système ne simplifie pas beaucoup les relations. Mais son but est d'introduire un peu de jeu dans l'organisation pyramidale. Tentative de remise en question de la technostructure décrite par J.K. Galbraith dans "Le Nouvel état Industriel".

 Organisation scientifique du travail (OST) :
Base de la révolution industrielle du XXe siècle, est une méthode de management et d'organisation des ateliers de production, dont les principes ont été développés et mis en application industrielle par Frederick Winslow Taylor (20 mars 1856 - 21 mars 1915). Elle est aussi communément appelée taylorisme et fut poussée à l'extrême dans le fordisme. L'OST a conduit à la parcellisation des tâches, en forçant les ouvriers et les employés à ne devenir que de simples exécutants dans d'immenses entreprises mécanisées.

 Organisation virtuelle :
utilisation des Nouvelles Technologies de la Communication et de l'Information pour développer des projets rapides, souples et provisoires dans le cadre d'un réseau de partenaires. On abolit la règle classique des trois unités : unité de lieu (l'établissement), unité de temps (travail simultané et communication synchrone), unité de thème (appartenance à la même entreprise).
Le projet regroupe des acteurs appartenant à plusieurs organisations, juridiquement distinctes. Certains sont salariés, d'autres sont prestataires de services, d'autres sont partenaires à titre individuel (consultants). Les outils du travail à distance permettent de constituer une équipe sans regrouper les compétences dans le même établissement. La messagerie électronique, le World Wide Web et les outils du groupware permettent de jouer avec les fuseaux horaires et les disponibilités de chacun.
Le réseau d'Activités à Distance, le Réseau européen pour l'Emploi, les Bureaux d'Accueil et les Partenaires du RAD constituent un ensemble, perpétuellement mouvant, de projets rapides en organisation virtuelle. Une organisation virtuelle est donc une mouvance de compétences, appartenant à des structures juridiques diverses, coopérant à des projets multiples sans avoir de liens permanents subsistant à l'exécution de chaque projet. De telles organisations virtuelles ne peuvent se créer sans un milieu propice aux échanges. L'interconnexion des sites webs et la participation à de nombreuses discussions thématiques sont la condition majeure de telles rencontres.

 Organismes de Placements Collectifs ou OPC :
Les OPC sont des organismes qui ont pour but la gestion des capitaux versés par un groupe d'investisseurs. Les versements individuels constituent un portefeuille de placement unique. La gestion commune de ces capitaux par des spécialistes offre des possibilités de placements difficilement accessibles à de petits portefeuilles individuels et permet une meilleure gestion des frais. Les sicav et les fonds communs de placement (entre autres les fonds d'épargne-pension) sont bien connus des investisseurs.
Bien que les deux structures poursuivent le même but, à savoir le placement collectif d'apports individuels, leur structure juridique est fondamentalement différente.
Les OPC sont soumis à certaines obligations visant à mieux protéger l'investisseur:
Un commissaire-réviseur est désigné pour contrôler les comptes annuels
Les capitaux gérés doivent être déposés auprès d'une banque
Un prospectus d'émission et des rapports financiers doivent être publiés
Certaines règles en matière d'investissement doivent être respectées.

 Organisme de placements collectifs en valeurs mobilières (OPCVM) :
Terme générique désignant les sociétés ou fonds, principalement Sicav (Sociétés d’investissement à capital variable) et FCP (Fonds communs de placement), ayant pour objet la gestion collective d'un portefeuille de valeurs mobilières. Pour pouvoir exercer, ces sociétés doivent recevoir l'agrément de la COB. Ces OPCVM peuvent être de capitalisation (qui ne distribuent pas les revenus mais les conservent dans leur actif) ou de distribution (qui régulièrement versent à leurs détenteurs tout ou partie de leurs revenus de la période).
OPCVM :
Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières, il s'agit d'un terme générique qui regroupe les produits de placement collectifs que sont les SICAV et les FCP.

 Origine sociale des besoins: nos besoins dépendent de notre éducation familiale, du groupe social, ou du pays auquel nous appartenons.

 Out of the money (hors du cours) :
Une option d’achat (respectivement de vente) est hors du cours lorsque le cours de l'actif sous-jacent est inférieur (respectivement supérieur) au prix d'exercice. (valeur intrinsèque nulle).

 Ouverture :
C'est la diminution des barrières institutionnelles aux échanges de biens, de services, de facteurs et d'idées. On a recours à deux méthodes pour la mesurer.
La première calcule une participation théorique du pays aux échanges à partir d'un modèle puis considère le solde entre ce qui est observé dans la réalité et la participation théorique comme le signe de politiques pro ou anti-ouverture.
La seconde consiste à attribuer des notes aux institutions et politiques relatives au commerce ou à l'investissement.

 

 

 OCP ou Office des Chèques Postaux :
Def xxxx.

 

 

 

 ONU = organisme des nations unies :
Def xxxx.

 ONG = organisation non gouvernementale :
Def xxxx.

 OPCVM = organisme de placement collectif de valeurs mobilières :
Def xxxx.

 

 Option d'achat  :
Def xxxx.

 Ordonnance :
Def xxxx.

 

 Organisme financier :
Def xxxx.

 Organisme public :
Def xxxx.

 

 


précédent (N) | Home | départ lexique   |    suite (P)